Libre Expression

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25 septembre 2008

Il serait temps de mettre nos montres à l’heure…….

Par voie de conséquence, il est à prévoir que nos économies vont ressentir l’impact d’une crise financière ayant pris sa source Outre-Atlantique. Si beaucoup d’acteurs des marchés boursiers s’attendent à d’autres corrections qui devraient avoir pour effet bénéfique de purger l’usine à gaz financière, il n’y a aucun doute que bien des Pays et non des moindres vont devoir redéfinir leur mode de Vie.
Opportunité favorable pour celles et ceux qui voudront consciemment s’y engager de bâtir un Monde dans lequel l’individu ne sera pas qu’une mesure variable d’ajustement.
Si pendant des décennies nous nous sommes enclins à privilégier ce besoin compulsif de consommer, il apparaît à la lueur des déconvenues boursières, qu’il est grandement temps d’expérimenter d’autres concepts d’existence qui de jour en jour s’avèrent très aléatoires.
Il ne s’agit pas d’éluder la réalité économique, juste de lui apporter quelques corrections pour la rendre plus Humaine.

Le clivage Nord-Sud ne peut se poursuivre encore longtemps sans faire courir un risque commun à l’ensemble de la planète. La période d’opulence dont bénéficiait les Pays riches est derrière eux. Les Pays émergeants réclament l’accès aux facilités matérielles au même titre que nous. Seront ils plus sages que nous ne l’avons été ?
Rien n’en est moins sûr.

Pour notre part, les circonstances vont avoir probablement cette fois un effet de levier bénéfique. Si l’Ecologie, le Développement durable, la préservation de la planète sont des thèmes porteurs, leur respect va devoir s’accentuer.
La solidarité, le partage, l’attention aux autres, le respect des différences, la lutte contre les exclusions de toutes nature vont être autant de moyens pour redonner des objectifs à une Humanité en proie à des doutes existentiels.
Chacun d’entre nous à le pouvoir de contribuer à dessiner un Monde meilleur, plus soucieux de la Personne.
Ce sont nos actions quotidiennes qui creusent notre sillon ne l’oublions jamais….
La Vie nous laisse le choix d’en faire une aventure ou bien un accident !

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13 septembre 2008

Plus-values humaines ou Moins-values financières ??

Sont quantifiables dans un Monde économique qui tend à se contracter en raison de l’âpre compétition qui y règne.
Les forces vives qui résident dans les Entreprises sont soumises à rude épreuve dans le but d’acquérir le leadership quel que soit leur secteur d’activitée. Les méthodes de management parfois utilisées sont très souvent stéréotypés donnant à croire que la aussi l’uniformisation est garante de résultat. Pourtant rien n’est plus différent qu’une Entreprise par rapport à une autre. Pourquoi ?
Par le fait que celle-ci se compose de personnes, hommes et femmes oeuvrant en son sein pour diverses raisons. Combien de Responsables prennent le temps de s’assurer que les gens qui composent leurs équipes trouve satisfaction dans leur travail quotidien ? Les individus quel qu’ils soient ont besoin de reconnaissance.
La reconnaissance individuelle attendue est différente selon la personne, sans aucun doute. Et fait constaté, qu’elle ne se satisfait pas nécessairement à plus de rémunération, pour qu’elle soit certifiée de qualité.
Prendre le temps d’écouter favorise une meilleure collaboration future, car l’interlocuteur perçoit l’importance qu’il revêt au sein de la communauté professionnelle à laquelle il souhaite appartenir plus pleinement, que l’on puisse croire bien souvent !
Au plus les Managers donneront de la visibilité à leur communication interne, au plus leurs collaborateurs adhéreront à des stratégies d’Entreprise qui reconnaissons-le, ne sont pas toujours très identifiables par le plus grand nombre.
Se priver de cet outil fondamental qu’est la communication, qu’elle soit personnelle ou collective, s’est implicitement renoncer à l’atteinte des objectifs principaux.
Une Entreprise, quelle que soit sa taille et son secteur d’activité dispose d’une richesse humaine pas toujours perçue.
Se préoccuper de cette plus-value humaine, c’est se mettre à l’abri de moins-values financières.
Plusieurs raisons peuvent en être la cause : manque de temps, hiérarchisation des fonctions provoquant une déperdition de la communication, etc.…
Ici ne vous sera pas énuméré tous les autres freins qui réduisent la vitesse de réaction de vos Entreprises, ce n’est pas le but.
Mon interpellation provocatrice du début, n’est là que pour vous rappeler que plus d’attention apportée à vos collaborateurs, amélioreront l’efficacité et donc les résultats de votre Entreprise.
Coaching-Humanité est à votre service pour vous aider dans ce sens.

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6 septembre 2008

Et si nous portions un regard nouveau sur nos relations humaines !!!

Malgré les divers outils à notre disposition, on est en droit de se demander si l’Humanité porte plus d’attention à celles et ceux qui la composent aujourd’hui.
L’hyper médiatisation produit parfois un effet contraire à celui recherché.
Certes la visibilité acquise grâce à nos outils de communication est profitable aux événements irradiés par la lueur des projecteurs. Toutefois l’ordre de leurs apparitions s’ajoutant à la brièveté de celles-ci, nuisent considérablement à leurs décryptages.
En cherchant à informer tout azimut et surtout en amplifiant l’écho provoqué par toute sorte d’événement dont l’importance est plus ou moins relative, les nouvelles sont banalisées et fréquemment vidées de leur sens.
Si les saisons ont été pendant longtemps le moyen à la disposition des hommes pour se repérer dans le temps, voila qu’aujourd’hui celles-ci ont laissé la place à un Monde qui s’est octroyé le droit de redéfinir notre calendrier existentiel.
Pendant ce temps, nous nous sommes appauvris humainement au point de ne plus être en mesure de distinguer nos priorités. Notre attention s’éparpille très souvent captée par l’éphémère.
Pour ne rien perdre dans l’instant, nous nous laissons guider par nos sensations produites par notre intarissable soif d’émotions.
Ce type de fonctionnement prend de plus en plus le contrôle de notre Vie. Au lieu de tendre à une meilleure compréhension du Monde, nous nous efforçons d’en juxtaposer un autre plus idéalisé produit par notre affect.
En instituant une manière d’appréhender les relations humaines sur la base de l’émotion, on donne effectivement une plus grande intensité à celles-ci.
Mais dans quel but ? Celui de fédérer les énergies esseulées pour les mettre au service du plus grand nombre, ou bien d’entretenir l’illusion suffisante d’y participer ?
Notre Société dont nous sommes, ne le perdons jamais de vue, les Architectes, a délimitée nos périmètres d’interventions. Elle définit, les moments où nous devons tenir compte des autres.
L’expression de nos sentiments se fait aujourd’hui pour beaucoup, sur recommandation médiatique.
Le sentimentalisme s’est substitué à l’expression digne du sentiment. Sans y prendre garde nous redessinons une société ou le misérabilisme officie avec pour principale fonction de nous déresponsabiliser.
L’Automne approchant, servons nous du message qu’il nous envoie :

« Laissons tomber à terre nos feuilles lourdes de suffisance, pour laisser apparaître la fragilité des branches sur lesquelles elles reposent. »

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